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Le toucher à 5 et la licence « loisir »

29 janvier 2019

Rugby #BienJoué

🏉 Chaque mois, la Fédération Française de Rugby décortique l’une des mesures de « Rugby #BienJoué » pour bien en saisir l’impact sur le rugby de demain. 🧐


👉🏻 3e épisode : le rugby à toucher à 5 et la licence « loisir » ! 🔊

 

" Certains chiffres parlent mieux qu’un long discours. En un an (entre octobre 2017 et 2018), le nombre de licenciés « nouvelles pratiques », exclusives au rugby à toucher à 5, a quasiment doublé (+49 %). Le nombre de clubs à avoir créé une section de la pratique a lui aussi explosé (+29 %). « La disciplineconnaît une grosse croissance très intéressante.Elle ne concerne pas les tranchesd’âge habituelles et elle est mixte. C’estaussi un gros vivier de bénévoles. J’estimeque c’est un vrai enjeu de la rénovation denos clubs et du rugby en France », avance Didier Retière, Directeur technique national.

L’argument de la mixité est appuyé par les chiffres publiés fin octobre 2018. Les femmes (1 049) représentent un bon tiers des licencié(e)s (2 971 en octobre). Le rugby à toucher à 5 est également ouvert aux licences Loisirs et aux détenteurs du Pass Rugby, une licence valable le jour de la compétition. Ils étaient 11 276 il y a trois mois à l’avoir validé en 2018. Mais le succès de cette nouvelle pratique ne s’explique pas uniquement par quelques statistiques, aussi flatteuses soient-elles. « C’est uneactivité physique excellente pour la santé.On vit des sensations et des émotions trèsproches de celles du rugby à 15. Ce qui estgénial, c’est que tous les gens qui y jouentont vraiment l’impression de jouer au rugby », note le DTN.

 

Une porte d’entrée pour les gens qui débutent

 

La constante évolution de la pratique, chapeautée depuis dix ans par la FFR, ne saurait s’arrêter en si bon chemin. « On vacontinuer à la faire progresser. Elle permetde changer un peu l’état d’esprit dans lesclubs. C’est une pratique très structurantepour eux. C’est aussi très intéressant pourles 14-18 ans qui n’avaient auparavantaucun accès à une pratique sans plaquage.Ils en ont désormais une », renchérit Didier Retière.

La discipline est la seule à rassembler des hommes, des femmes, des enfants, leurs parents, des collègues, de toutes les générations. « Ça peut aussi êtreune très bonne porte d’entrée pour les gensqui débutent, poursuit le DTN. C’est aussitrès intéressant pour les joueurs plus âgésou en fin d’une carrière. » Pas de plaquage, que du plaisir et une troisième place dans la liste des mesures du programme Rugby #BienJoué qui traduit bien l’importance que lui accorde la fédération. « Une dynamiqueest créée, les gens s’éclatent. Ça sedéveloppe progressivement avec de plus enplus de clubs qui entrent dans la démarche.À ma connaissance, aucun n’a fait marchearrière pour l’instant », conclut Didier Retière, ravi de l’avancée de ce chantier et impatient de voir jusqu’où sa croissance le mènera. "

 

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